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Bamba Nonféni Michel Zarationon est de nationalité ivoirienne et effectue ses études à l’Université de Bretagne Occidentale (Brest). Ses domaines de recherche sont le droit international des droits de l’Homme, le droit du numérique, le contentieux international et le droit international humanitaire. Il est aussi membre du pôle Droit international des droits de l’Homme de l’Académie Africaine de la Pratique du Droit International (AAPDI) et juriste bénévole au service juridique de l’Association Voix des Étudiants Étrangers.
La grammaire de référence, qui suit l'évolution de la langue et propose des réponses nuancées aux questions que l'on peut se poser en français.
LE BON USAGE, c'est la grammaire de l'usage à travers l'observation constante d'un français vivant. Témoignent de cette évolution les 40 000 citations de 2500 auteurs, issues d'oeuvres littéraires et de la presse écrite, que le lecteur peut découvrir au fil des pages.
LE BON USAGE, c'est la grammaire de référence, qui apporte une réponse à toutes les difficultés que l'on peut rencontrer en français. Toute en nuances, jamais elle n'impose ; elle suggère, en donnant les différents usages suffisamment courants pour être pris en considération.
Cet ouvrage est le journal d’un prêtre mobilisé comme lieutenant en 1958 pendant la guerre d’Algérie, écrit sous les balles et sur les mines, en Kabylie, où il a été lieutenant, puis capitaine.
C’est un texte brut et dur, mais manifestant un amour inconditionnel pour les Algériens. Certains épisodes sont proprement insoutenables, et à chaque instant transparaît le cruel dilemme entre la foi de l’auteur et sa fonction.
La fin est marquée par la lettre des prêtres mobilisés à leurs évêques, qui a causé de vives polémiques dans la presse et au ministère en 1959.
Après Soumise et À corps perdu, Sonya Zadig clôture cette trilogie avec À corps retrouvé.
L’adolescente rebelle devenue femme, convoque dans ce roman un passé devenu hélas trop présent, ce qu’elle avait fui il y a bientôt 40 ans la rattrape sur la terre de France.
Comment dès lors s’en sortir lorsque les fantômes du passé reviennent nous hanter ? Quelle voie emprunter ? Sinon de se faire la voix de toutes ces femmes malades de n’avoir pas su briser le silence ?
Ce récit offre un témoignage objectif sur la vie d’un étudiant centrafricain venu faire, en toute légalité, ses études au Maroc.
Tout d’abord, c’est la découverte d’un pays où la culture et les comportements sont positivement différents de ce qu’il a connu chez lui. Ensuite, c’est la découverte d’Africains issus de divers pays et dont les comportements oscillent entre inquiétudes quotidiennes, difficulté de survie et, parfois malheureusement, irrespect des hôtes, jusqu’à des agissements violents. C’est enfin, malgré tout, la découverte d’une solitude que ne comble pas l’environnement humain positif et qui fait regretter sa terre natale.
Ce livre est un modeste t moignage : raconter quelques v nements dÕune enfance en Guin e,
dÕune vie de femme peule pass e en Europe pour y suivre son mari et accomplir des tudes
sup rieures, loin des traditions et coutumes familiales.
Assumer une identit peule aujourdÕhui, cÕest aussi penser mon anctre Bokar Biro Barry, qui fut
lÕun des derniers rois peuls (Almamy) dont ma grand-mre Fatoumata Barry entretenait la m moire.
JÕai parfois le sentiment dÕavoir v cu ses c t s.
Voilà Le fils de-la-femme-mâle ! Né pour combattre l'injustice, la dictature, la misère, le désespoir, etc. Cet être étrange est à la fois son père et sa mère, êtres hermaphrodites?; mais aussi Samory, Sounjata, Chaka, Abla Pokou, Lumumba, Kwame et… Cents-carats ! Il naît en des pays d'Afrique souffrant de la division, de la misère. Il naît pour combattre les tyrans, faire triompher la justice… Appel à une meilleure qualité de vie, cette œuvre est un hymne à l'unité des bâtisseurs. Et tout cela est saisi à travers une écriture belle, forte, poétique qui donne à ce conte romanesque toutes les qualités d'un texte mythique, légendaire et épique, une œuvre sortant comme de la profondeur des âges pour donner à l'Afrique en lutte de nouvelles raisons d'espérer.
Dans ce roman, Jean Louis Ondziadzoue relate les vestiges d’une guerre qui éclate en république du Congo. Foutoulou est maître de la grande forêt Zoumbata, une jungle où il fait exécuter les captifs. Anatole Mbolami fut l’un d’eux. Céline Mbazou, sa fille, une otage auparavant « butin commun » aux malfrats, devient la proie sexuelle de Foutoulou seul. Pour se venger et afin de se libérer de ses crocs, Céline Mbazou simule une grossesse. Dès lors, elle décide de s’enfuir avec « Je », une autre victime. La poursuite par les malfrats sera vaine. Arrivés à destination, Céline Mbazou et « Je » commencent leur aventure nouvelle.
Installés à Casablanca depuis la fin de leurs études à Toulouse en 1987, Kamal, Éliane et leurs deux enfants mènent une vie paisible. À l’approche de la quarantaine de Kamal, leur couple traverse une période de turbulences.
Kamal découvre alors un club de course de fond, qui lui fait retrouver sa sérénité : telle une thérapie, il enchaîne marathon sur marathon, au point de bouleverser toutes leurs habitudes.
Éliane, narratrice du roman, ne voit pas ce changement d’un bon œil et raconte leur vie de couple et ses ressentis, à travers l’histoire de son mari.
Le récit, qui prend naissance à Fès pendant les derniers souffles du protectorat et s’étale jusqu’aux années 80, reflète implicitement le cri de détresse d’un citoyen amer devant sa ville dénaturée qu’il a lui-même abandonnée. Le personnage central reste la médina de Fès qui garde jalousement un caractère andalou-médiéval. Fès se dévoile à travers une famille comme tant d’autres. Ses membres, un à un, livrent, par des impressions dissemblables, une tranche de leur vie.
Fès ne se conçoit pas sans ses villages alentour, ses montagnes, ses lacs, ses forêts. Elle continue sa marche dans le temps et certains Fassis, émigrés ailleurs, gardent la nostalgie d’un passé révolu qu’ils transmettent entre générations.
Zakaria est le premier volet d’une trilogie qui comprend, en outre, deux récits (un diptyque) S’il faut mourir / Puisqu’il faut vivre et Associations, un second roman.
Comme Camus évoquant ses trois premiers livres – un roman, une pièce de théâtre et un essai philosophique – Zebouchi considère ses trois ouvrages comme un tout.
Zakaria nous livre successivement les portraits de cinq personnages. Plus précisément, il nous relate le déroulement d’une journée dans la vie de chacun d’eux. Une journée particulière dans la mesure où elle marque une « fin de partie », la fin d’une époque, d’une histoire ou d’une vie.
Cet ouvrage est un recueil de 15 nouvelles et textes. De petites histoires qui racontent le quotidien de personnages ordinaires. Entre nostalgie et avenir incertain, ces hommes et ces femmes essaient de survivre au monde moderne, par l’isolement, le déni, le rêve, l’exil, ou même par la mythomanie et la folie.
Dans un décor clos, celui du village de Kabylie ou d’ailleurs, la gravité et le sérieux des situations sont toujours atténués par l’humour, la dérision et l’absurde, uniques remèdes à la démence et à la tentation de la mort. Quelques textes poétiques s’incrustent au milieu des histoires : des souvenirs et des rêveries de l’enfance. Pour clore ce recueil : geôles, un texte pour dénoncer les dictatures réelles ou symboliques, un hymne à la vie et à la liberté.
Le lecteur francophone ne connait pas bien l’univers des femmes égyptiennes d’aujourd’hui. Les Cléopâtre, Néfertiti et Hatchepsout ont plus de chance dans les médias occidentaux que leurs lointaines descendantes.
Le royaume du cœur raconte les histoires de vie de femmes dans une remarquable description de la société égyptienne, offrant une vue panoramique de l’univers d’un Orient méditerranéen.
Dans ce roman écrit dans un style nouveau, fluide, libre, bien à elle, l’auteure mélange les dialogues des personnages avec la narration et l’écriture scénique. Elle s’attache à décrier les fléaux du terrorisme et l’emprise de la drogue sur la jeunesse d’Egypte. Un roman émouvant, entre joies et angoisses, rêves et espoirs, dans lequel évoluent des personnages complexes et attachants.
Vers la fin de sa vie, lors de nombreux tête-à-tête nocturnes, Akdar révèle son histoire dont il n’a jamais fait état auparavant. Celle d’un homme qui lutte pour l’indépendance de son pays jusqu’au moment où le cours de la guerre le rattrape et le fait basculer dans les rangs de l’armée française, par un « choix impossible » qui devient l’unique possibilité de survie pour lui, sa femme Toutana et leurs quatre enfants.
À travers la vie d’Akdar et Toutana, ce roman évoque aussi la question de l’enfance éclaboussée par cette histoire dont l’héritage est encore lourd à porter.
Quel bonheur d’avoir deux mères qui t’admirent, l’une moderne, l’autre traditionnelle. Toutes deux voient en toi leur propre reflet, dans les traits délicatement sculptés, la peau fine, la chevelure soyeuse, la bouche pulpeuse et la couleur des yeux. Mais à condition que l’une d’elles ne soit pas impétueuse et difficile à côtoyer et qu’elles restent ensemble en harmonie avec la réalité, d’autant plus qu’elles doivent courageusement échanger des conseils sur ton éducation et contrôler tes débordements.
Un mirage, c’est la principale caractéristique de cette vie à l’université, loin du paradis que le protagoniste espérait connaître. Il s’agit d’une vie dans laquelle responsabilité, courage et ambition doivent se conjuguer au quotidien pour permettre à l’étudiant de réussir. Dans ce roman, une vie difficile qu’ils n’avaient pas imaginée attend nos quatre personnages. Certains vont s’obstiner tandis que d’autres abdiqueront à cause des multiples tentations qui les détourneront de leur objectif initial. Parviendront-ils à combiner des études difficiles et une vie financièrement compliquée ? Au fil de ce récit, le lecteur est amené à se questionner sur le sort de quatre personnages dont la vie universitaire peut vite se transformer en une lutte du quotidien
Ce livre est le récit d’un homme partagé entre trois cultures : une culture traditionnelle assurée par les femmes, l’éducation musulmane reçue à l’école coranique de son père, et la culture occidentale introduite par l’école où son père l’a envoyé.
Lancé à la recherche d’un savoir nouveau, l’auteur observe les Français. La population de Paris, sauvage, fuyant le contact, se retranche dans les galeries du métro, vêtue de peaux panthères, traquée par le froid, la neige et la tristesse...
Le chemin du savoir est parsemé de difficultés. Une maladie grave, l’hépatite B, vient accentuer ses épreuves. Les hospitalisations se succèdent. L’auteur est sauvé par une double transplantation du foie.
Le numérique a envahi l'espace public. Si la dématérialisation des démarches administratives en est sans doute la manifestation la plus immédiate pour le grand public, les cas d'usages se sont aujourd'hui considérablement diversifiés, en particulier grâce à l'utilisation de l'intelligence artificielle, que ce soit pour allouer des droits sociaux, délivrer des rendez-vous en préfecture, gérer les flux de transport ou encore, surveiller les populations. De nombreuses questions juridiques, spécifiquement de droit public, sont alors soulevées. Les lacunes, résistances et mutations du droit public sont, dans cet ouvrage, mises en évidence à travers l'étude de cas d'usage du numérique par les autorités publiques, dans l'exercice de leurs missions et dans l'élaboration des actes administratifs.
Cet ouvrage aborde les juridictions camerounaises et les juridictions supranationales, tableau complété par les juridictions non étatiques. Il s'intéresse ensuite aux métiers de la justice (magistrats, avocats, huissiers, notaires, fonctionnaires des greffes, etc.) et traite enfin des principes fondateurs communs qui structurent le service public de la justice.
« Je te dirai quand te marier et avec qui, alors occupe-toi de tes études et deviens un excellent médecin comme ton papa ! » Tel est le mot d’ordre du puissant docteur Diop pour sa fille.
Mais la belle et brillante Malayka Diop rêve de liberté, de grand amour et de belles amitiés… Tout ce qui fait le bonheur d’une jeune fille de son âge.
Oppressée par ce père qui règne sur sa famille en véritable tyran dictateur, Malayka sent grandir en elle une colère et une rébellion prêtes à exploser et, avec elles, les vilains petits secrets et dysfonctionnements de cette famille, parfaite au premier abord.
Face à l’urgence climatique, le Sénégal est confronté à une mutation profonde de son tissu économique et social. Cet ouvrage explore l’impact du changement climatique sur trois piliers de son économie : l’agriculture, la pêche artisanale et l’élevage extensif, en prenant pour cadre d’étude la région de Saint-Louis.
À travers une approche qualitative rigoureuse, basée sur des entretiens semi-directifs et des monographies, l’étude met en lumière une réalité préoccupante : la dégradation des conditions climatiques menace directement la survie de ces activités, entraînant une insécurité économique croissante.
Avec plusieurs décennies de recul on s'aperçoit que les grands thèmes développés dans Nations nègres et culture, non seulement n'ont pas vieilli, mais sont maintenant accueillis et discutés comme des vérités scientifiques, alors qu'à l'époque ces idées paraissaient révolutionnaires. L'indépendance de l'Afrique, la création d'un État fédéral continental africain, l'origine africaine et négroïde de l'humanité et de la civilisation, l'origine nègre de la civilisation égypto-nubienne, l'identification des grands courants migratoires et la formation des ethnies africaines, etc. ; tels sont quelques thèmes principaux, toujours d’une grande actualité, explorés par Cheikh Anta Diop, l'historien africain le plus considérable de ce temps.
La croissance et le développement de l'Afrique subsaharienne constituent un véritable mythe : ils sont évoqués dans tous les discours, mais tardent à se concrétiser. L'évidente contradiction entre les objectifs volontaristes affichés par les pouvoirs publics africains et la faiblesse des moyens dont ils se dotent conduit à s'interroger sur les ressorts de ce paradoxe et à mobiliser comme facteur explicatif l'extraversion qui caractérise les liens qu'entretient l'Afrique avec le reste du monde, en particulier les liens économiques. Vu de loin, le comportement des pouvoirs publics africains paraît incohérent et parfois suicidaire, en tout cas en contradiction avec les impératifs du développement.
La décolonisation africaine n'aura-t-elle été qu'un accident bruyant, un craquement à la surface, le signe d'un futur appelé à se fourvoyer ? Dans cet essai critique, Achille Mbembe montre que, au-delà des crises et de la destruction qui ont souvent frappé le continent depuis les indépendances, de nouvelles sociétés sont en train de naître, réalisant leur synthèse sur le mode du réassemblage, de la redistribution des différences entre soi et les autres et de la circulation des hommes et des cultures. Cet univers créole, dont la trame complexe et mobile glisse sans cesse d'une forme à une autre, constitue le soubassement d'une modernité que l'auteur qualifie d'" afropolitaine ".
Par (auteur) Le Breton, Morgane; Par (auteur) Herlem, Kévin; Par (auteur) Sépari, Sabine
Description
Tout le programme, rien que le programme
Tous les corrigés détaillés des exercices, applications et cas, assortis de conseils et rappels méthodologiques
Un panorama synthétique des grandes notions du droit. Qu'est-ce que le droit ? Le terme recouvre un ensemble de notions qu'il convient de maîtriser. C'est le droit objectif, c'est-à-dire les règles de conduite qui, dans la société, gouvernent les relations des hommes et s'imposent à eux. Mais ce sont aussi les droits subjectifs , à savoir les prérogatives reconnues à un individu dans ses rapports avec les autres, sous la protection de l'autorité publique.
Cet ouvrage présente sous forme synthétique les notions essentielles du droit . Sont envisagés, d'abord, les éléments généraux que constituent les sources du droit (traité, loi, jurisprudence, coutume) et ses principales divisions (droit civil, constitutionnel, commercial, communautaire...)
Ce manuel s'adresse aux étudiants de licence en droit. Il intéressera également les personnes préparant le concours du CRFP4 et les praticiens.
Point d'intersection du droit privé et du droit public, assurant l'organisation des marchés, l'efficacité du crédit et la protection des particuliers,le droit bancaire organise la collecte et la redistribution de la monnaie. Le droit bancaire est institutionnel car établissements et autorités bancaires forment le secteur bancaire, secteur réglementé par un statut spécial.
Un ouvrage complet qui donne les bases indispensables pour l'étude méthodique du droit.
La différence entre un bon et un mauvais étudiant n'est pas qu'une question de travail.
Le bon étudiant domine sa pensée et ses connaissances par la rigueur et la logique, le mauvais accumule mots, phrases et paragraphes en se laissant guider par la fantaisie et l'approximation. Le premier intérêt de la méthodologie est donc d'aider l'étudiant à devenir meilleur.
Un ouvrage sur la méthode en droit peut prendre deux orientations : celle du fond ou celle de la forme.
Après «Le Livre noir du communisme», «Le Livre noir du colonialisme» est l'ouvrage de référence sur les pages sanglantes, les excès, les méfaits mais aussi les discours de légitimation de la colonisation.
Les conquêtes, puis les luttes pour l'indépendance ont nourri les pages les plus sanglantes de la colonisation: aux Caraïbes, en Australie, en Amérique du Nord, les conquérants ont perpétré de véritables exterminations; en Algérie, au Vietnam, les luttes de libération sont devenues des guerres destructrices. Mais le colonialisme, ce fut aussi la traite et l'esclavage, c'est-à-dire la déportation de dix à quatorze millions d'hommes et femmes; ce fut, une fois l'esclavage aboli, le travail forcé et les terribles conditions sanitaires qui lui étaient associées.
Mohammed Cissé explore à travers ses écrits des thèmes universels et intimes. Son premier roman, Le Palais-Royal, a paru aux éditions L’Harmattan en 2021.
Franco-sénégalais, né à Dakar, Mohammed Cissé a baigné dans cette double culture dont il s'inspire dans ce roman.
Oudah Yobom est un économiste appliqué et de développement, travaillant sur des solutions pour un système agroalimentaire sahélien durable et résilient et l’éclairage des politiques publiques face aux changements globaux.
Charles Zagoh est docteur en droit économique des affaires, spécialité Financement de projets internationaux.
La Grammaire de la signification
Querelle des fondements de la philosophie contemporaine du langage
de Auguste Nsonsissa
Si vous êtes familier des histoires africaines, vous avez dû entendre parler de cette reine qui avait sacrifié son enfant pour sauver son peuple et de cette femme qui s'était sacrifiée pour son enfant. Mettez le tout dans la tête d'un schizophrène qui se prend pour un prince, artiste de surcroît, dans son palais, entouré de ses femmes et de ses griots, et vous y voilà. Bienvenue dans l'univers du prince.
Ecrits au Burkina Faso lors d'enquêtes ethnographiques de terrain, ces textes expriment la magie des paysages africains du Sahel (Sénégal et Burkina) et des sociétés qui y vivent. Ces contes et récits nomades sont tirés des longues années passées dans les villages des brousses, savanes et forêts d'Afrique. Mêlés dans le creuset de l'imaginaire, récits et contes se confortent pour exprimer une certaine idée du destin.
L’oralité a toujours servi aux Africains pour transmettre les connaissances et la mémoire collective. Au centre de l’oralité se tiennent en bonne place les contes et légendes, qui furent pendant des millénaires le meilleur moyen d’éducation en Afrique. Ce recueil renferme des histoires tantôt entre les animaux seuls, tantôt entre les animaux et les hommes, les animaux et les génies, ou encore entre les hommes et les génies, dont le théâtre est constitué du cadre de vie de tous ces êtres et souvent même s’étend au ciel et à la Terre entière. L’aspect succulent de ces histoires vient surtout de l’alliage entre la ruse, la sagesse, les tares et la niaiserie individuelle ou collective...
Ces dernières années, la question coloniale s’était s’invitée partout dans le monde et de façon simultanée et spectaculaire. En 2019, l’assassinat de l’Afro-américain George Floyd lui avait donné un écho considérable en associant à ce crime raciste la responsabilité des États qui ont soumis les peuples par l’esclavage et le colonialisme. Le départ forcé de la France de ses ex-colonies (Mali, Burkina Faso, Niger, Gabon…) nous questionne sur la nature de ce néo-colonialisme, la « Françafrique ».
Ce guide des conversations Français -Wolof concocté en 1907 par la mission catholique de Saint-Joseph réponds en premier lieu à un objectif aider à la conversation des Wolofs au catholicisme. C'est un instrument utile de des initiation à une langue devenu prépondérante dans l'espace Sénégalo-gambien. Et l'offre aussi une base d'évaluation des lampes pour ton travail réalisé dit puis parler linguiste sénégalais sur le wolof.
Vous connaissez ces moments tellement singuliers et fondateurs qui viennent interroger votre famille, votre/vos cultures, votre éducation, votre/vos identités, vos valeurs, vos actes passés et à venir, de jeune femme ou jeune homme sur la terre ?
La première fois que j’ai plongé mon corps et mon esprit sur le continent africain en 1984, il me semble, j’ai eu droit à un décentrage, un temps choisi. J’étais à peine majeure et le pays que j’avais décidé de découvrir était le Sénégal. Atterrissage en Gambie à Banjul, un choc culturel immédiat, d’autres langues, aucun repère. Une déflagration intérieure !
Ce tome 2 du Journal d’un coopérant de Bruno Chavane retrace son parcours professionnel et personnel dans la coopération internationale, principalement en Afrique. Après dix ans au Sénégal, il rentre en France et s’installe en Provence, puis à Paris, où il travaille au ministère de la Coopération. Désillusionné par la bureaucratie, il démissionne et se tourne vers le domaine culturel, intégrant le Centre Pompidou. Malgré quelques succès, il quitte ce poste, déçu par les tensions internes.
En 1990, le Bénin (Dahomey jusqu’en 1974) décida de changer le cours de son destin et, dans un élan populaire lors de la Conférence nationale souveraine, fit basculer le pays d’un régime autoritaire à la démocratie. Comment ce miracle béninois eut-il lieu ?
Quel était l’état du pays avant la conférence, comment se sont établis la transition et le nouveau gouvernement, quels ont été les points forts de cette nouvelle politique et quelles adversités le nouveau président a-t-il dû affronter ?
La liberté pour les justiciables de faire trancher un litige qui les oppose à l’Administration dépend des règles de compétence, de recevabilité, mais aussi de la volonté pour le juge de limiter leur possibilité d’exercer plusieurs recours juridictionnels. À cette fin, le Conseil d’État a créé une cause d’irrecevabilité, essentiellement appréhendée par l’exception de recours parallèle. Pour autant, cette notion doctrinale n’est qu’une manifestation historique d’une politique jurisprudentielle plus générale. En particulier, lorsque deux recours permettent de faire juger une même prétention, le juge impose que soit exercé celui dont le domaine d’application est le plus limité
Dans son ouvrage Wade, Mille et Une Vies, le journaliste et écrivain Madiambal Diagne retrace plus d’un demi-siècle de la vie politique sénégalaise à travers le parcours d’Abdoulaye Wade, figure emblématique de l’opposition avant de devenir président du Sénégal.
L’auteur explore avec minutie l’ascension politique de Wade, marquée par de multiples batailles, des alliances fluctuantes et des stratégies de conquête du pouvoir. De 1974 à 2000, Wade incarne une opposition tenace face au régime socialiste, naviguant entre espoirs, intrigues et trahisons.
Le Rapport de la Commission “Recherche” sur le rôle et l'engagement de la France dans la lutte contre les mouvements indépendantistes et d'opposition au Cameroun, de 1945 à 1971.
La Nouvelle George Sand, du haut de ses vingt ans, s’impose aujourd’hui comme l’un des tout premiers concours de nouvelles de France, sans transiger sur ses objectifs initiaux : accompagner au féminin la reconnaissance de plumes bien trempées, mais aussi favoriser l’éclosion de nouveaux talents. Tous nos remerciements aux 532 candidates qui ont fait de ce vingtième anniversaire un cru exceptionnel.