
CONSTRUIRE LE SENEGAL DU FUTURE
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Monsieur Boubacar Camara est actuellement directeur général adjoint des Douanes du Bénin. Dans le secteur public, Monsieur Camara a pris une retraite
anticipée de l’Inspection générale d’État après avoir été directeur général des douanes et secrétaire général de ministère au Sénégal. Dans le secteur privé, il
fut président du Conseil d’administration d’une industrie cimentière. Il capitalise une vaste expérience de consultant pour des groupes internationaux dans les domaines de l’énergie solaire, des hydrocarbures, du partenariat public-privé, de la douane, du commerce international et de l’investissement en Afrique. Docteur en droit, il est avocat au Barreau
de Paris, en omission volontaire.Engagé en politique, il fonde en 2018 le mouvement politique Jengu, Ngir Jëriñ Senegaal (Un sursaut salvateur au service du Sénégal), devenu Parti de la Construction et de la Solidarité-Jengu Tabax, dont il est président fondateur honoraire. Il est le Président d’honneur du mouvement de jeunesse « Génération Y » dont il est l’initiateur.
Ce livre présente l’argumentaire du programme de développement durable du Sénégal de Monsieur Boubacar CAMARA.
Selon lui, pour sortir de la pauvreté, et garantir la prospérité du Sénégal et de l’Afrique, un changement de cap est nécessaire. Ce changement appelle la transformation structurelle de l’économie.
Boubacar CAMARA tente de démontrer que malgré l’ampleur des pertes d’opportunités et la persistance du retard économique et social, la construction du Sénégal du futur est à notre portée. Elle passe par l’aménagement d’un nouveau socle pour la nation et la citoyenneté, inspiré de principes directeurs
et de valeurs cardinales consensuels et par le renforcement du capital humain. Pour Boubacar CAMARA, il faut produire ou périr. Aussi met-il l’accent sur la production industrielle et la transformation des produits de l’agriculture, la pêche, l’élevage entre autres sans oublier le soutien à l’artisanat, la culture et le tourisme. C’est à ce prix que l’autosuffisance alimentaire sera atteinte. Il prône également un nouveau schéma de financement du développement libératoire de l’endettement public excessif. Tout cela va de pair avec une profonde réforme de l’administration publique (avec un recours à la digitalisation), des institutions, de la justice, du travail et de la commande publique. Il préconise de « mettre de l’ordre » dans plusieurs secteurs dont l’aménagement du territoire et de réorganiser plus efficacement la lutte contre la corruption. Pour lui, une meilleure ouverture à l’Afrique s’impose.