Lettre au peuple


12 000 CFA
TTC

Monsieur Birahime SECK est juriste, titulaire d’un DEA en Droit Public Général et en Droit de la Décentralisation et en Gestion des Collectivités locales respectivement à la FSJP de l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar et de l’UFR SJP de l’Université Gaston Berger de Saint-Louis. Monsieur Birahime SECK a donné des cours et a encadré des Travaux Dirigés dans plusieurs universités publiques (FSJP-UCAD ; IFACE-FASEG ; UFR-DROIT-UGB ; Centre de Ressources de l’UADB de Dakar) comme privées (UAHB, BEM, UDB) du Sénégal.


Quantité
  Garanties sécurité

La qualité du produit est garantie par L'Harmattan Sénégal

  Politique de livraison

Ce livre peut être récupéré en magasin ou livré à domicile.

  Politique retours

Le retour se fait directement en magasin. Merci de contacter le SAV : +221 33 825 98 58

cet ouvrage est un outil d’introspection sur le coût de l’impunité au Sénégal. En effet, il est incompréhensible de continuer à s’endetter alors qu’avec qu’une justice et des corps de contrôle indépendants, efficaces et efficients, le Sénégal n’aurait pas besoin de l’aide publique au développement au regard de ses besoins budgétaires. Le traitement non partisan de plusieurs dossiers devrait permettre à l’État du Sénégal de se détourner de la pression budgétaire : Il en est ceux des 94 milliards « détournés » qui opposent l’ancien inspecteur des impôts radié et non moins leader du Parti Pastef, Monsieur Ousmane Sonko et le Directeur des Domaines, Monsieur Mamour Diallo, des 25 personnalités citées par l’ancien procureur Alioune Ndao, du rapport de 2013 de l’IGE sur la gestion du FESMAN qui renseigne que la participation sénégalaise était prévue, au départ, à la somme de cinq milliards (5 000 000 000 de francs CFA). Au finish, le FESMAN a coûté plus de quatre-vingt (80 000 000 000 milliards de francs CFA) au Trésor public, et donc, au peuple sénégalais. Il a même coûté plus, parce qu’en parcourant le rapport 2013 de l’IGE, il y est indiqué que le FESMAN a été financé au moyen de décrets d’avance, en ponctionnant des crédits destinés à des programmes et projets sociaux. À ce montant de 80 milliards de F CFA, il faut ajouter les 6 999 484 083 francs FCA

représentant la contribution des autres États et organismes. 

9782956582816
Commentaires (0)