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L’auteur a vécu durant trente années à Dakar où elle avait créé la résidence école en soin psychosocial « Vivre Art » avec le professeur Momar Gueye. À son départ du Sénégal, s’est déchaînée autour d’elle une violence inattendue. Pour quelles raisons ?
Ce livre cherche à les mettre au jour, en s’efforçant de déplier les liens de filiations et d’affiliations entre les pères et leurs fils/filles, la place des mères, les configurations familiales, dans la singularité des individus, des cultures, des langues et des parcours. L’œdipe sur les deux continents est si particulier. C’est pourquoi pour ce travail d’analyse sont convoqués aussi bien Lacan que Mozart, Freud que Polnareff, comme des écrivains tel Amin Maalouf venu du Liban, ou Ken Bugul la Sénégalaise.
Combattre n’est pas toujours brandir une arme. C’est aussi, se tenir droit dans la tempête, marcher malgré la peur, avancer malgré les blessures.
L’Art du Jihād est un livre de combat. Mais pas n’importe lequel. Ce combat ne fait pas couler le sang, mais les larmes. Il se mène seul, dans le silence, face à soi-même. Le lecteur y découvre que la première ligne de front est intérieure : c’est l’ego qu’il faut dompter, les illusions qu’il faut briser, les tentations qu’il faut désarmer. Écrit dans une langue qui mêle la bravoure du guerrier à la lucidité du sage, cet ouvrage explore les principes d’un art aussi ancien que l’humanité, mais toujours brûlant d’actualité : celui de la lutte contre soi.